FORCE OUVRIÈRE VAUCLUSE
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UNION DÉPARTEMENTALE FORCE OUVRIÈRE DE VAUCLUSE
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L'AFOC
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26/02/2025
Déclaration liminaire (lien pour le téléchargement)
Le 20 février, les organisations syndicales ont reçu le rapport de la Cour des comptes sur les retraites. Ce rapport confirme que la réforme des retraites de 2023 est injuste, brutale et injustifiée. Pour autant, la Confédération Force ouvrière est conviée à une première réunion d’échange sur les retraites ce jeudi 27 février.
Concernant la concertation sur les retraites, Force Ouvrière l’a dit depuis le début : « Ni le format, ni le périmètre, ni la méthode ne nous conviennent ! ». Nous n’avons pas été entendus. La revendication de Force Ouvrière est et reste l’abrogation de la réforme des retraites de 2023.
Or l’exécutif, depuis le 20 février, communique en disant que l’on ne peut pas toucher aux 64 ans ni au périmètre financier.
La lettre du chef du gouvernement est un vrai carcan. Elle va forcément réduire le champ des possibles sur les solutions que nous pourrions trouver. Le risque est grand que cela aboutisse au maintien du statu quo, avec un âge légal qui restera ancré sur les 64 ans. En définitive, d’une part, nous ne pourrons pas toucher à la borne d’âge et d’autre part, ce seront encore les salariés auxquels les efforts seront demandés, or le déficit actuel est de 6 milliards d’euros alors que les aides publiques aux entreprises sans aucunes contreparties représentent 173 milliards d’euros.
De plus, le mélange des genres entre les régimes de retraite du privé, du public et des régimes spéciaux, des indépendants et des agriculteurs, laisse supposer un projet de retraite universelle par points que nous rejetons toujours. Nous ne sommes pas légitimes pour parler des régimes de retraites des agriculteurs ni de ceux des indépendants.
Nous ne participerons ni à l’instrumentalisation, ni à l’intégration des organisations syndicales de salariés dans un processus gouvernemental dit « délégation paritaire permanente ».
Pour FO, l’équilibre financier des régimes de protection sociale ce sont les cotisations et donc l’augmentation du taux d’emploi.
Pour autant, Force Ouvrière souhaite que des discussions sur l’égalité professionnelle et salariale entre les femmes et les hommes, la reconversion professionnelle, la pénibilité, la formation professionnelle tout au long de la vie, les entretiens de fin de carrière, les temps partiels subis, la conditionnalité des exonérations de cotisations sociales et les salaires soient mis en œuvre dans le cadre de l’article L1 du code du travail pour trouver des solutions dans le cadre de la pratique contractuelle et conventionnelle à laquelle Force Ouvrière est très attachée.
25/02/2025
Les rapports d'activité et de trésorerie ont été adoptés à l'unanimité.
10/02/2025
Rappelons-le, cette réforme a été imposée grâce à l’utilisation du 49-3 par un gouvernement sans majorité, contre l’Assemblée nationale qui s’apprêtait à la rejeter, alors que des millions de salariés et d’agents publics organisaient des mobilisations historiques dans la rue contre le passage de l’âge de départ à 64 ans.
Force Ouvrière continuera à s’opposer fermement à cette contre-réforme des retraites, et à tout compromis qui in fine reviendraient à accepter ce que nous combattons, comme les tentatives de réformes systémiques, notamment celle par points de 2019.
Force Ouvrière continuera également à se battre contre toute volonté d’imposer une capitalisation des retraites.
C’est dans cette optique, après avis de la Commission Exécutive de l’Union Départementale Force Ouvrière de Vaucluse réunie le 10 février 2025, que le Bureau considère que nous ne pouvons rester dans un « conclave » dans lequel les organisations patronales disposent d’un droit de veto à toute mesure qui irait à l’encontre de cette contre-réforme qu’elles soutiennent.
Ni amendable et jamais négociée, cette contre-réforme doit être abrogée !
19/01/2025
En effet, les accidents du travail, accidents de trajet et maladies professionnelles ont entraîné 76,6 millions de jours d'incapacité temporaire en 2023, contre 72 millions en 2022.
Si les accidents du travail enregistrent une légère baisse de 1,5 % en 2023 (un chiffre que Force Ouvrière remet en question en raison de l’augmentation de la sous-déclaration), les accidents de trajet augmentent de 5,1 % et les maladies professionnelles de 7,1 %.
Le nombre des morts au travail a de quoi nous glacer car le chiffre catastrophique de 3 morts par jour est désormais dépassé. Avec 759 décès d’accidents du travail auxquels s’ajoutent 332 décès d’accident de trajet et 196 de maladies professionnelles, le total des morts au travail se monte à 1287 soit plus de 3,5 par jour.
Force Ouvrière continue de revendiquer des moyens et le retour des CHSCT pour permettre d’assurer l’effectivité de la santé et de la sécurité au travail.
FO poursuit son combat pour que le travail cesse d'être une source de souffrance pour les travailleurs et leurs familles.
La question de la santé et de la sécurité au travail ne doit pas être reléguée au second plan !
19/01/2025
14/01/2025
Version imprimable du communiqué de l'UDFO 84
STOP AU DÉLABREMENT DE L’HÔPITAL !
STOP A LA MALTRAITANCE DES SOIGNANTS ET DES PATIENTS !
Avignon, le 15 janvier 2025
L’épidémie de grippe qui sévit dans le pays met fortement à mal les services d’urgence, de réanimation et de ce fait l’ensemble des services des établissements de santé, alors même que l’épidémie n’a pas encore atteint son pic !
Le déclenchement des plans blancs est maintenant devenu un mode de gestion routinier pour les directeurs d’hôpitaux et les agences régionales de santé. Pourtant, il y a encore quelques années en arrière, les plans blancs, n’étaient déclenchés que pour faire face à des situations exceptionnelles de catastrophes naturelles, routières, chimiques, etc.
Du point de vue des conséquences, c’est la double peine qui impacte à la fois les patients avec des déprogrammations de soins et d’hospitalisation, pouvant par ailleurs accentuer les pertes de chance et la mortalité … et également les personnels soumis à des conditions de travail intenables ; ceux-ci se retrouvent à devoir gérer l’ingérable et à faire des choix insupportables dans le déroulé de la prise en charge des patients.
De plus, ces situations maintenant fréquentes, rendent encore plus corvéables les agents hospitaliers qui sont contraints par une obligation absolue de service, de se rendre à leur poste de travail sans considération aucune de leur vie de famille, de leur temps de repos, de leur santé…, ce qui a un impact très négatif sur la fidélisation des professionnels et l’attractivité des métiers du soin, provoquant des démissions en cascade.
La généralisation au quotidien de ces plans blancs n’est pas due à l’épidémie de grippe comme on tente de nous le faire croire, mais aux attaques répétées contre la Santé depuis des années, avec les fermetures de lits, l’insuffisance de personnels et la faiblesse des rémunérations.
Ce sont les gouvernements successifs qui, de par leurs politiques d’austérité successives, sont responsables de cette situation, mettant en danger les patients par une inaccessibilité aux soins qui leurs sont dus, et les agents par l’impossibilité de respecter leur serment.
Avec la Fédération FO-SPS, l’Union Départementale Force Ouvrière de Vaucluse revendique le recrutement de personnels à la hauteur des besoins, la réouverture de lits, l’ouverture de places en institut de formation paramédicale.
La Commission Exécutive de l’Union Départementale Force Ouvrière de Vaucluse, réunie le vendredi 10 janvier 2025, apporte son total soutien aux syndicats FO et aux agents hospitaliers des établissements de Vaucluse. Elle est à leurs côtés pour défendre leurs emplois et leurs conditions de travail.
13/01/2025
Les bons résultats à ces deux élections sont essentiellement dus au travail de conseil et de défense des salariés au quotidien, et également à l’implication des militants dans ces élections.
Résultats des élections TPE :
09/01/2025
Discours des vœux de l'UD 2025
Chers camarades, bonsoir à toutes et tous !
Je tiens tout d’abord à vous remercier pour votre présence à cette cérémonie de présentation des vœux de l’Union Départementale Force ouvrière de Vaucluse.
Cette cérémonie est l’occasion de faire un retour en arrière sur l’année écoulée et de présenter les enjeux de celle qui commence.
Faut-il le redire ? Ce sont bien les salariés, les retraités, les demandeurs d’emploi, la jeunesse qui paient en premier lieu le prix fort des guerres, des contre-réformes et de la destruction de notre modèle social.
Commençons par l’international. Les guerres se poursuivent, notamment à Gaza et en Cisjordanie d’abord, où le génocide des Palestiniens se poursuit, comme le dénonce un nombre de plus en plus grand d’ONG, d’institutions internationales (Amnesty International, Human Rights Watch, l’ONU, la Cour Internationale de Justice…), de gouvernements, de syndicats, d’associations humanistes. Les livraisons d’armes et de matériel de guerre à Israël doivent cesser.
Les conflits armés se poursuivent également en Ukraine et en Russie, où l’aspiration à la paix gagne de plus en plus largement les populations ; d’autres régions et pays dans le monde (Sahel, Soudan, Cachemire …) connaissent cette barbarie.
Dans ce contexte, nous continuons à être solidaires des travailleurs qui sont les premières victimes des conflits armés. Nous soutenons celles et ceux qui militent et œuvrent pour un retour à la paix et à la justice sociale.
Notre Confédération Force Ouvrière continue d’appeler à un cessez-le-feu et à l’arrêt immédiat des violences sur tous les terrains de guerre. Plus que jamais, nous réaffirmons notre attachement à l’expression « pour le Pain, la Paix, la Liberté » qui rappelle l’engagement historique de la CGT-FO depuis ses origines.
La France traverse une crise politique historique.
Suite à la défaite du parti du président Macron aux européennes puis aux législatives, nous avons traversé une période de 51 jours avec un gouvernement démissionnaire qui, dans les faits, était intouchable (terme employé dans une note de service du secrétariat général du gouvernement), ne pouvant être censuré. Pour rappel, un gouvernement démissionnaire ne devrait gérer que les affaires « ordinaires » et « urgentes », pas les affaires « politiques » ; sauf que durant cette période, plus de 1 500 décrets ont été publiés, notamment celui sur la suppression du jour de repos lors des vendanges en Champagne.
Le Gouvernement piloté par Michel BARNIER n’aura tenu que trois mois (record) avant d’être censuré suite à l’utilisation du 49-3.
Cette crise politique est historique, la seule autre motion de censure de la Vème République datant de 1962.
Le vote de cette motion de censure a eu pour conséquence la démission de Barnier dès le lendemain, acceptée par le président Macron.
Cette crise politique aura quand même eu du bon : mettre fin au projet de réforme de l’assurance chômage Attal, aux attaques contre les fonctionnaires (remerciement à tous les camarades venus manifester le 5 décembre dernier, notamment ceux du privé). Et les retraites augmentent de 2,2 % au lieu des 0,8 % annoncés. Bien sûr nous ne sommes pas dupes, les futurs gouvernements ne manqueront pas de remettre sur le tapis ces projets, ou pire encore …
Revenons à la censure du gouvernement Barnier. Celle-ci a eu lieu suite à la tentative de passage en force par le 49.3 du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Ce dernier était encore plus destructeur que les précédents, de même que le projet de loi de Finance qui est également tombé avec la censure. Nous avons cependant toutes les raisons de craindre que le projet de loi de finance qui sera présenté par Bayrou soit tout aussi destructeur que celui de son prédécesseur.
L’austérité budgétaire que les gouvernements successifs tentent d’imposer est prétextée par la dette de l’État, qui rappelons-le, n’a rien à voir avec notre modèle social comme on souhaiterait nous le faire croire : elle résulte de déséquilibres causés par le capitalisme financiarisé commun à la plupart des pays développés.
Ce déséquilibre trouve son origine dans la baisse tendancielle des recettes, avec notamment les baisses d’impôts, les aides aux entreprises sans conditionnalité, l’évasion fiscale …
Il est nécessaire de rappeler que l’austérité budgétaire ne conduit pas à une réduction du poids de la dette alors même que c’est son objectif affiché. Elle accélère au contraire le ralentissement de l’économie et la récession. Cette austérité risque ainsi de conduire à une asphyxie de la croissance et in fine à un accroissement de la dette publique et des déficits et à coup sûr provoquer une aggravation du délabrement en particulier de l’hôpital public, de l’Enseignement public, voire à être le prétexte à la privatisation de services publics.
Depuis la dissolution de l’Assemblée Nationale, voulue par Macron, et les législatives de juin dernier qui n’ont pas permis de dégager une majorité politique, notre pays semble plongé dans une incertitude politique.
De cette incertitude découlent le ralentissement de l’activité économique et la multiplication des plans de licenciements cyniquement baptisés plans sociaux, déjà annoncés dans 180 sites industriels du pays. C’est une véritable avalanche de licenciements : les licenciements sont annoncés en cascade comme par exemple à Michelin, Valéo, Sanofi, ou encore Nexity.
Chez Auchan, c’est une suppression de 2 389 postes, alors même que la famille Mulliez est la 8ème fortune de France, avec une fortune estimée à 20 milliards d’euros, alors même que Décathlon a reversé un milliard d’euros de dividendes aux actionnaires de la famille Mulliez au titre de l’année 2024, alors même qu’Auchan a bénéficié de 500 millions d’euros du CICE il y a quelques années, au nom de la défense de l’emploi. C’est le plus gros plan de licenciement depuis la création d’Auchan. Dans le Vaucluse, ce sont dans un premier temps une cinquantaine de postes qui sont supprimés, et ce n’est qu’un début ! Le magasin du Pontet va voir sa surface réduite d’un tiers, à priori à partir de septembre 2025. Cela entraînera 120 nouvelles suppressions de postes : 70 licenciements, 50 départs à la retraite non remplacés.
Comme vous le savez, 2024 aura été une année importante en termes d’élections : il s’agissait de la dernière année du cycle des élections CSE, mais aussi des élections TPE.
Concernant ces dernières, nous sommes à nouveau 4èmes au plan national et régional. Le nombre de votants a une nouvelle fois chuté, atteignant seulement 4,07 % de participation.
Nous avons relevé et remonté à notre confédération de trop nombreux obstacles au vote : courriers non reçus, impossibilité de se connecter à l’espace électeur … Cela a contribué au faible nombre de votants. Les résultats départementaux seront connus courant janvier.
Chez Auchan, nous avons récupéré la première place dans le collège des ouvriers et employés. Il ne manquait que quelques voix pour être premier au global.
Chez Grand Delta Habitat, désormais seul acteur du logement social en Vaucluse, à l’occasion de l’élection des représentants des locataires qui se sont tenues en décembre, c’est l’AFOC 84 qui s’est emparée de la première place avec 52 % des voix, contre 24 % aux élections précédentes.
Avec là aussi un faible nombre de votants au regard du nombre de locataires, les statuts des COOP HLM stipulant que seuls les locataires détenteurs de parts sociales peuvent voter, ce qui limite grandement le nombre d’électeurs.
Enfin, et ça ne vous aura pas échappé, 2024 aura été une année importante pour notre Union Départementale. Jean-Luc a décidé de ne pas se représenter pour un nouveau mandat. Comme vous pouvez vous en douter, je ne le laisse pas encore profiter pleinement de sa retraite, qui pourtant est bien méritée. Jean-Luc, je tiens une nouvelle fois à te remercier pour ta disponibilité et les conseils que tu continues de m’apporter. Je tenais également, au nom de l’UDFO de Vaucluse, à te remercier pour ton engagement tout au long de ces années.
Je tiens également à remercier Alex, qui tout comme Jean-Luc s’est beaucoup engagé depuis de nombreuses années dans la vie de l’Union Départementale, en tant que Trésorier. Alex, je te remercie également pour le temps que tu passes actuellement afin d’accompagner Célina, notre nouvelle trésorière.
Je profite de ce moment pour vous rappeler que nous avons engagé un gros travail sur nos moyens de communication, en créant un nouveau site internet de l’UD, forceouvriere84.fr, et en relançant le journal de l’UD, inFO 84. Trois exemplaires du journal sont déjà parus, et vous pouvez bien évidemment les retrouver dans les actualités sur le site de l’UD.
À l’aube de cette nouvelle année, face à toutes les attaques qui visent à faire disparaître nos acquis sociaux, nous devons donc plus que jamais et inlassablement continuer à mobiliser, à informer afin d’être en capacité d’établir le rapport de force efficace indispensable pour contrer le rouleau compresseur du tout libéralisme.
Nous devons donc continuer de nous développer en amplifiant la syndicalisation pour consolider les structures existantes et développer de nouvelles implantations.
Nous devons nous mobiliser pour faire voter FO aux élections CSE, aux élections aux Chambre d’agriculture qui auront lieu du 15 au 31 janvier, ainsi qu’aux élections à la MSA du 5 au 16 mai 2025.
Chers camarades, je vous adresse à tous, en mon nom, mais aussi au nom de l’Union Départementale des Syndicats Force Ouvrière de Vaucluse, tous mes vœux de santé, de bonheur, mes vœux de réussite dans les actions syndicales que vous entreprendrez, que nous entreprendrons nécessairement.
Pour conclure, je dirai quelques mots sur Mayotte, département d’Outre-mer, qui a dû faire face au violent cyclone Childo, qui a dévasté une grosse partie de l’île. Rappelons que Mayotte est délaissé par l’État, le département le plus pauvre de France, avec de nombreux habitants logés de façon très précaire dans des bidonvilles, se retrouvant maintenant sans abris. La situation sanitaire est plus que préoccupante : il n’y a plus d’eau courante et l’électricité ne fonctionne plus sur la majeure partie du territoire.
Les administrations et hôpitaux publics n’ont pas été épargnés, et ont subi les aléas du cyclone rendant la gestion de la crise encore plus compliquée. Plus que jamais, il y a urgence à renforcer les services publics.
L’Union Départementale Force Ouvrière de Vaucluse, tout comme notre confédération exprime son soutien plein et entier aux syndicats FO de Mayotte, à la population et aux salariés qui vivent et travaillent dans ce département.
Vive l’Union Départementale des syndicats Force Ouvrière de Vaucluse et Vive la CGT FORCE OUVRIERE.
26/11/2024
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